samedi 29 juillet 2017

Al-Jazeera : la chaîne des terroristes islamistes

La chaîne de télévision arabe d'Al Jazeera a soutenu l'Etat islamique (EI) et Al Qaïda/Al Nosra pendant des années. Les représentants de l'EI et d'Al Nosra étaient accueillis sur la chaîne avec des saluts : "Sois encore le bienvenu mon frère" et quand ceux-ci quittaient la chaîne "va avec Dieu". Le fondateur dirigeant de l'agence de presse de l'EI, Aamaq, Rayan Mishaal, était un invité régulier et quand il a été tué en Syrie la chaîne arabe Al Jazeera a présenté ses condoléances sur les ondes.
Un programme entier a donné l'antenne et la parole à un présentateur arabe d'Al Jazeera soutenant ouvertement un génocide de la minorité religieuse Alawite en Syrie (d'où est issue la famille du Président) comme étant la meilleure solution pour résoudre les problèmes du peuple syrien.
Quand le sinistre printemps arabe a éclaté, ou a plutôt été organisé de l'étranger, en 2011, la chaîne de télévision arabe Al Jazeera, un fief de la famille royale qatarie, est entrée en guerre contre le gouvernement d'Assad au pouvoir en Syrie et a forcé la plupart des journalistes authentiques de la station à renoncer en signe de protestation. Certains d'entre eux ont formé de nouvelles chaînes de télévision, notamment la chaîne TV d'Al Mayadeen, basée au Liban, qui a depuis été suspendue tant par le satellite saoudien Arabsat que par le satellite égyptien Nilesat, quoique la chaîne arabe Al Jazeera et sa filiale anglaise soient toutes les deux toujours portées par les deux systèmes satellites sans tenir compte du prétendu "boycott du Qatar" par la coalition saoudienne.
Résultat de recherche d'images pour "Hoda Abdel Hamid"
la super menteuse raciste :
Hoda Abdel Hamid
La guerre de L'OTAN (et des États français et britannique, NdT) contre la Libye qui a débuté en 2011 fut le moment de ligne de rupture pour la chaîne arabe Al Jazeera quand elle a commencé une campagne de terreur raciste lancée par le journaliste étoile Hoda Abdel Hamid saturant les ondes hertziennes avec un discours de haine alléguant faussement que Kadhafi avait envoyé des mercenaires noirs, africains pour violer des milliers des femmes et des filles de Libyens dans une volonté de créer une vague de rapine et de mutilations s'étendant à travers le pays.

La crainte de prédateurs sexuels noirs, ravivant les tendances les plus arriérées et racistes envers des gens qui se sont retirés du nomadisme depuis une génération, a été réactivé par Hoda qui a su affoler la population arabe libyenne et soulever un demi-million de Libyens.
Les Arabes se sont enfuis de leurs maisons sous la protection supposée d' Al-Qaïda et plus tard l'Etat islamique a contrôlé l'Est de la Libye et la Cyrénaïque. 
Ce discours de haine raciste était une complète fabrication et quand  Hoda Abdel Hamid a été défiée de prouver ce qu'elle avait dit avait dit, elle a complètement échoué à trouver n'importe quelle trace de mercenaires africains ou une femme libyenne qui avait été violée, lors qu'elle est allé en Libye. Ce fut la même campagne de mensonge raciste qui fut utilisée par la Secrétaire d'État Hillary Clinton et l'ambassadrice de l'ONU Susan Rice alléguant que l'on donnait aux combattants de Kadhafi du viagra pour alimenter le viol et le pillage contre leur propre peuple, renforçant la conviction de la population en cette propagande et ces mensonges.

En conséquence de cette incitation raciste à la violence, des centaines si ce n'est des milliers de travailleurs immigrés africains ont été lynchés par des escadrons de la mort arabes libyens, avec leurs corps torturés, brûlés, accrochés à des ponts ou déposés dans le désert. J'ai été présent aux funérailles des victimes érythréennes de ces lynchages racistes par des foules et j'ai vu les images des Africains torturés et brûlés vivants, diffusées dans le monde entier, qui ne pouvaient que ressusciter les souvenirs de lynchages similaires d'hommes noirs partout dans les anciens états esclavagistes aux États-Unis.
Ce crime de guerre (en fait un crime contre l'humanité, NdT), qui avait pour but une purification ethnique des Arabes libyens et la tuerie de travailleurs immigrés africains est similaire à bien d'autres crimes de guerre (crimes contre l'humanité, NdT) qui ont amené des criminels, militaires et civils, devant la Cour pénale internationale (CPI). Bien sûr être accusé devant la CPI exige l'approbation de la Maison Blanche aussi ne vous attendez pas à ce que Hoda et le reste des voyous journalistes de la chaîne arabe Al Jazeera soient jamais soumis à la justice pour leurs crimes contre les Syriens, les Africains, les Tunisiens, les Égyptiens, et les Libyens.

Les médias occidentaux ont prétexté la "liberté d'expression" dans leur défense de la chaîne anglophone Al Jazeera, mais se sont presque complètement tus lorsqu'il a s'agit de faire la lumière sur la chaîne de télévision arabophone Al Jazeera et sur sa publicité "de télévision de la terreur" par son soutien aux escadrons de la mort islamistes, qu'ils s'appellent Daech, Al Qaïda, Frères Musulmans,  sur ses ondes hertziennes internationales. Dans le cas de la chaîne en langue arabe Al Jazeera "le journalisme est un crime" faisant mentir les prétentions de sa filiale de langue anglaise.

Par Thomas C. Mountain
Article originel : Free Speech or Terror TV? Al Jazeera's Support for ISIS and Al Qaeda
American Herald Tribune
Source :  http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2017/07/video-libre-expression-ou-television-de-la-terreur-le-soutien-d-al-jazeera-a-l-etat-islamique-et-a-al-qaida-american-herald-tribune

VOIR AUSSI : Le Qatar aime surtout le terrorisme
------------------------------------------------------------------------------------------
PS. Lors de la publication de ce post, nous apprenons que l'un des piliers d'al-Jazeera, l'ancien président provisoire installé par les Frères Musulmans en Tunisie, continue à sévir sur al-Jazeera et à diffuser ses fausses nouvelles, à l'instar de Hoda Abel Hamid et de tant d'autres. Son but ? appelr à la sédition et à la destruction de l'Etat, comme en Syrie, en Libye et en Irak...
Le dernier épisode de l’émission de « Témoin de l’histoire » diffusée sur la chaine  « Al Jazeera » et dans laquelle l’ancien président Moncef Marzouki a fait des révélations aussi fausse que "fracassantes" (selon lui) concernant l’attaque contre l’ambassade américaine à Tunis, le 14 septembre 2012, a suscité une grande polémique. Les acteurs de l’époque, notamment l’ancien ministre de la défense Abdelkrim Zebidi et l’ancien chef d’état-major interarmes, le général Rachid Ammar l’ont catégoriquement démenti et l’ont, même, accusé d’avoir cherché à autoriser le débarquement des marines américains en Tunisie. Accusation d’une gravité telle qu’elle pourrait être qualifiée de haute trahison. 
Ce n'est pas la première haute trahison de ce félon.
Fils d'un traître, Moncef Marzouki ne fait que suivre la voie de son père : Moncef Marzouki est le fils d'un goumier, d'un traître

Voir aussi :

Tunisie. HAUTE TRAHISON. Moncef Marzouki aidait les terroristes contre l'Armée Nationale